L’analyse sera mise en ligne ultérieurement.
Les Yeux et la lumière est
un recueil de nouvelles publié en 1948 comprenant : « La Vénus de Solare »,
« Un mensonge politique », « Agir selon sa pensée »,
« Le démenti », « Les Mots », « Meurtre sans
importance », « Epilogue ».
La nouvelle Les Mots avait déjà été éditée avant cette date
et elle fait l’objet d’un traitement particulier dans cette
page, parce qu’elle nous semble fondamentale. D’autres sont également
dignes d’intérêt, comme Le démenti, largement autobiographique, Vercors
racontant son évolution vers la Résistance intellectuelle pendant l’Occupation,
loin de la philosophie pessimiste qu’il avait érigée en principe de vie…du
moins le croyait-il. Ces deux nouvelles sont visibles dans l’édition
Omnibus : allez voir à la librairie.
Signalons en outre que le récit Un
mensonge politique a été transposé au théâtre sous le titre Le Fer et le Velours.
C’est à partir de ce recueil que
Vercors prit conscience qu’il lui fallait élaborer une éthique humaniste dont
il posera les bases dans Plus ou moins homme (1950).
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