Les verbes imperfectifs évoquent des procès
qui ne portent en eux-mêmes aucune limite :
l’événement peut ainsi se prolonger aussi
longtemps
que l’énoncé le lui permet.
Ex : « marcher ».
Les verbes perfectifs, quant à eux, comportent
en leur sens même une limitation de durée.
Ex : Le verbe « mourir » porte
intrinsèquement
la désignation de ses propres limites.
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